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Planque ton béret, Marcel Dufour

Notice sur « Planque ton béret, Marcel Dufour ! » (par Philippe Barrier)
Ecrit et réalisé par Philippe Barrier

"Le tournage repose sur un canevas écrit dont il ne reste pas trace aujourd’hui.

Le film est produit par des fonds provenant de la MJC de Crépy-en-Valois. Cette aide était minime et a payé le développement de quelques pellicules. La caméra Bolex 16 mm ayant servi au tournage m’avait été offerte cette année de mes 18 ans par mon père. Aucun personnel n’a été rémunéré.

Prises de vue :
Philippe Barrier
François Van Lierde
Jean-Pierre Berchem
Ma sœur, Odile Barrier, tenait le rôle de scripte.

Le film (Noir et Blanc) est muet. Une bande son était diffusée sur un magnétophone pendant la projection. C’était un montage de musiques pop de l’époque, assez psychédéliques (comme Pink Floyd).

J’incarne le personnage central (Marcel Dufour)
Tous les autres sont des membres de la MJC de l’époque, dont je ne possède pas tous les noms aujourd’hui (à part les 3 opérateurs images qui ne se contentaient pas de leur rôle de technicien) auxquels il faut ajouter : Marc Paciora, Philippe Lecat, Arnaud Foubert, Françoise Van Lierde, Dominique Lardenois, Giles Laprévote… Ils sont tous indiqués au générique sous des pseudonymes humoristiques.

J’ai monté le film à la main sur une vieille monteuse film mécanique, à partir des positifs…

Le film suit les pérégrinations d’un anti-héros confronté à des situations absurdes parfois burlesques. Une scène constitue une mise en abîme. On y voit le cinéaste Jean-Pierre Melville (incarné par mon père, Robert Barrier, avec lequel je trouvais une ressemblance frappante) tourner une scène de film de gangsters.

Le film a été projeté à plusieurs reprises à la MJC devant des publics divers, et une fois à l’occasion d’un festival de films amateurs de la région de la Brie. Il n’a reçu aucun prix à cause de ces défauts techniques (images sous ou surexposées, floues, absence de son direct…)

A sa suite j’ai tourné, dans des conditions à peu près similaires un autre court-métrage : « Pannes en séries » (un peu rocambolesque et burlesque). J’avais déjà tourné (en 8mm) « Un film poursuite » (film psychédélique sur un homme poursuivi par une caméra) et « Regards sur Crépy », un documentaire avec des images chocs ou pittoresques et un accompagnement musical sur bande magnéto."

Philippe Barrier, cinéaste.

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