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- Cinéaste(s) : Bernard DUBLIQUE, Gérard DEBACKER, JP DHONDT, Pierre DUBUS
- Année(s) : 1969
- Lieu(x) : Lille (59)
- Durée : 00:10:21
- Coloration : Couleur
- Format : Film 8 mm
- Son : Sonore
- Genre : Fiction
- Collection : Bernard DUBLIQUE
- Support(s) : 0728FH0003
”Notre galaxie comporte 100 milliards d’étoiles. Chacune de ces étoiles est un soleil pouvant avoir un cortège de planètes comme notre propre soleil. Et des galaxies comme la notre, on en distingue sans cesse, à l’infini…” “Un jour, parmi les étoiles, nous rencontrerons nos égaux ou nos maîtres…” “Pourquoi une telle rencontre ne sait-elle pas déjà produite, puisque nous nous hasardons nous même dans l’espace”.
“Pourquoi ?”
"UCAN" (Union des Cinéaste Amateurs du Nord”
En extérieur, un étang sa végétation, un point lumineux descebnd du ciel vers la terre.
un homme fait du vélo près de l'étang (temps pluvieux), un son ambiant et étrange devient envahissant. L’homme vacille… il descend de son vélo.
1’38 : Il aperçoit une soucoupe volante qui s'éclaire.
Un son strident est associé à la soucoupe.
Le point lumineux traverse le ciel, de la terre vers le ciel.
L’homme remonte sur son vélo et repart.
2’15 : carton "?"
"Réalisation G. Debacker JP Dhondt P Dubus B Dublique".
2’29 : Dans une imprimerie, tirage d'un journal, la Une apparaît "Soucoupe volante dans la Vienne".
Un homme lit son journal près d'un kiosque. L’homme traverse la rue, beaucoup de piétons (Lille).
Un jeune homme entre dans un café. Assit sur la banquette, il lit le journal “Le diurne”. Son voisin de table boit une bière, lui un café, puis ils s’échange le journal. L’homme lit l’article sur la soucoupe volante. Gros plan sur l’encart “Comme à Quarouble en 1951”. Page d’un livre.
4’43 : pendule, le temps qui passe. Horloge : il est 7h04.
Un homme lit un livre dans son fauteuil. Il est dérangé par les aboiements d’un chien. Il sort libérer le chien. Il aperçoit quelque chose au loin. Le chien continue d’aboyer.
5’41 : Deux individus non identifiés habillés en blanc courent au loin. L’homme les poursuit.
Le chien est agité et aboie.
L’homme court sur les rails.
Il aperçoit la soucoupe volante dans laquelle les 2 individus montent.
L’homme est arrêté par la puissance invisible de la soucoupe (il tombe à terre).
La soucoupe volante qui s'allume (point rouge en surimpression). L’homme est ébloui. La soucoupe décolle. L'homme est allongé à plat ventre au sol, il se relève observe la soucoupe qui traverse le ciel.
7’23 : bâtiment avec un dôme (la nuit tombe), lumière à la fenêtre.
En intérieur plusieurs hommes regardent des photos de soucoupes volantes étalées sur un bureau.
”Intrigués par le nombre croissants d’OVNI, certains astronomes s’interrogent dans le secret de leurs observatoires”. Stade de la curiosité et de l’interrogation… Des techniques scientifiques s’ébauchent.
8’27 : les 3 scientifiques sortent du bureau, montent un escalier. L’un d’eux fume la pipe.
8’36 : Télescope. Le plafond en forme de dôme s’ouvre. Les astronomes observent au télécope le ciel.
Ils voient une planète, des étoiles… la galaxie. Vue sur des images de l'espace.
”Notre galaxie comporte 100 milliards d’étoiles. Chacune de ces étoiles est un soleil pouvant avoir un cortège de planètes comme notre propre soleil. Et des galaxies comme la notre, on en distingue sans cesse, à l’infini…” “Un jour, parmi les étoiles, nous rencontrerons nos égaux ou nos maîtres…” “Pourquoi une telle rencontre ne sait-elle pas déjà produite, puisque nous nous hasardons nous même dans l’espace”.
“Pourquoi ?”
carton "FIN".