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Actualités Valericaines - 2ème partie
- Cinéaste(s) : Henri GROGNET
- Année(s) : 1953 à 1954
- Lieu(x) : Saint-Valery-sur-Somme (80), Valenciennes (59)
- Durée : 00:22:24
- Coloration : Couleur
- Format : Film 16 mm
- Son : Muet
- Genre : Actualités
- Collection : Guy GROGNET
- Support(s) : 0095FS0002
Ces actualités valericaines reprennent des événements de l'été 1953 à l'été 1954 : la Fête des fleurs, une course de régates dans le port, la Fête de la mer, la Baie de Somme prise dans la glace en février 1954, les Ve Floralies valenciennoises et la Fête des fleurs.
A propos de la banquise en Baie de Somme :
"Hiver 1954, banquise sur la Baie de Somme.
Le froid, un aspect peu connu de Saint-Valery en février. Par une température de moins 20°, le port a été complètement gelé et il faut remonter à plus de 70 ans pour jouir d’un tel spectacle. Le froid intense a eu pour effet de transformer la baie en mer de glace. Un aspect féérique lors de l’arrivée du flot qui charriait de véritables icebergs. Le chenal, complètement obstrué est impraticable. Les bouées sont figées sur place. Et la plage revêt un aspect polaire qui change à chaque marée." Henri Grognet
Durant cet hiver glacial de 1954, l’abbé Pierre lance son célèbre Appel, sur les ondes de Radio Luxembourg, créant ce qu’on appellera
«l’insurrection de la bonté».
A propos de la banquise en Baie de Somme :
"Hiver 1954, banquise sur la Baie de Somme.
Le froid, un aspect peu connu de Saint-Valery en février. Par une température de moins 20°, le port a été complètement gelé et il faut remonter à plus de 70 ans pour jouir d’un tel spectacle. Le froid intense a eu pour effet de transformer la baie en mer de glace. Un aspect féérique lors de l’arrivée du flot qui charriait de véritables icebergs. Le chenal, complètement obstrué est impraticable. Les bouées sont figées sur place. Et la plage revêt un aspect polaire qui change à chaque marée." Henri Grognet
Durant cet hiver glacial de 1954, l’abbé Pierre lance son célèbre Appel, sur les ondes de Radio Luxembourg, créant ce qu’on appellera
«l’insurrection de la bonté».