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Authie (L')
- Cinéaste(s) : Albert CAVENEL
- Année(s) : 1939 avant
- Durée : 00:14:27
- Coloration : Noir & Blanc
- Format : Film 8 mm
- Son : Muet
- Genre : Documentaire
- Collection : Gérard CAVENEL
- Support(s) : 0464FH0002
Un poème cinématographique : L'Authie.
C'est dans un creux de la terre Picarde
Aux confins des grandes plaines d'Artois
Près du village de Coigneux,
Que serpente le lit desséché d'une rivière.
En approchant du village le sol devient humide
Et l'eau suinte de toutes parts
Mais, c'est au pied d'une carrière de craie....
que murmure une source abondante.
Aussitôt, claire, rapide et chanteuse, l'AUTHIE s'élance vers son destin...
Au fond de la plus charmante vallée Picarde.
Aux petits ponts rustiques.....
Coule, parmi les fleurs....
et des sites tout à fait "Vieille France"
Bientôt est asservie par l'homme qui la force à travailler.
Elle se fait douce et romantique pour traverser DOULLENS
Mais reprend aussitôt son cours, tour à tour, laborieuse, impétueuse ou calme.
Baigne les vieille tours du château de DOMPIERRE
Grandissante sans cesse
Elle serpente maintenant dans une large vallée
Où paissent de paisibles troupeaux...
Et d'où l'on tire encore de la tourbe
C'est en passant sous la route PARIS-CALAIS
Quelle pénètre dans les bas-champs du Marquenterre
Et à PONT-à-CAILLOUX.....
Entre dans la plus sauvage des baies de notre littoral
Pour enfin se perdre dans l'infini de la mer
C'est dans un creux de la terre Picarde
Aux confins des grandes plaines d'Artois
Près du village de Coigneux,
Que serpente le lit desséché d'une rivière.
En approchant du village le sol devient humide
Et l'eau suinte de toutes parts
Mais, c'est au pied d'une carrière de craie....
que murmure une source abondante.
Aussitôt, claire, rapide et chanteuse, l'AUTHIE s'élance vers son destin...
Au fond de la plus charmante vallée Picarde.
Aux petits ponts rustiques.....
Coule, parmi les fleurs....
et des sites tout à fait "Vieille France"
Bientôt est asservie par l'homme qui la force à travailler.
Elle se fait douce et romantique pour traverser DOULLENS
Mais reprend aussitôt son cours, tour à tour, laborieuse, impétueuse ou calme.
Baigne les vieille tours du château de DOMPIERRE
Grandissante sans cesse
Elle serpente maintenant dans une large vallée
Où paissent de paisibles troupeaux...
Et d'où l'on tire encore de la tourbe
C'est en passant sous la route PARIS-CALAIS
Quelle pénètre dans les bas-champs du Marquenterre
Et à PONT-à-CAILLOUX.....
Entre dans la plus sauvage des baies de notre littoral
Pour enfin se perdre dans l'infini de la mer