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Epandage
- Réalisateur(s) : Pierre DUBOIS
- Année : 1950 à 1959
- Lieu(x) : Saint-Crépin-Ibouvillers (60)
- Durée : 00:02:05:06
- Coloration : NB et Couleur
- Format : Film 16 mm
- Son : Muet
- Genre : Familial
Travaux agricoles à St Crépin.
10'23 : épandage aérien. Traitement du colza.
Des avions traitent des champs de St Crépin. Voir explication de Pierre Gartner en PJ.
11'22 : épandage par voie terrestre.
Une camionnette équipée traite le champ.
Séquence issue du support 0001FS0003, de 14'30 à 16'39. Collection Denis DUBOIS
Commentaires de Pierre Gartner (mars 2017) :
"L’épandage par voie aérienne était réservé aux grandes exploitations mais la rapidité se faisait au détriment de la précision notamment en bout de champ et au faible emport de produit qui nécessitaient beaucoup de déposes et décollages. Ce système qui nécessitait un pilote confirmé à plutôt été un épiphénomène. Mais les pilotes désoeuvrés étaient nombreux à l’après-guerre.
La diffusion d'insecticides par voie terrestre est devenue générale pour des raisons de coût et de disponibilité au gré des besoins de l’agriculteur. Nous sommes ici immédiatement à l’après-guerre avec du matériel militaire que les Américains et les Anglais ont laissé par centaines de milliers sur place.
La Jeep bâchée a encore son immatriculation militaire. C’est une « Hotchkiss M 201 », sur laquelle ont été installés un moteur thermique et un ventilateur indépendant de la Jeep.
C’est un insecticide à poudre dont on voit les sacs sur le capot de l’engin (peut-être du DTT )qui était un des rares insecticides à large spectre efficace il a remplacé le sulfate de cuivre."
10'23 : épandage aérien. Traitement du colza.
Des avions traitent des champs de St Crépin. Voir explication de Pierre Gartner en PJ.
11'22 : épandage par voie terrestre.
Une camionnette équipée traite le champ.
Séquence issue du support 0001FS0003, de 14'30 à 16'39. Collection Denis DUBOIS
Commentaires de Pierre Gartner (mars 2017) :
"L’épandage par voie aérienne était réservé aux grandes exploitations mais la rapidité se faisait au détriment de la précision notamment en bout de champ et au faible emport de produit qui nécessitaient beaucoup de déposes et décollages. Ce système qui nécessitait un pilote confirmé à plutôt été un épiphénomène. Mais les pilotes désoeuvrés étaient nombreux à l’après-guerre.
La diffusion d'insecticides par voie terrestre est devenue générale pour des raisons de coût et de disponibilité au gré des besoins de l’agriculteur. Nous sommes ici immédiatement à l’après-guerre avec du matériel militaire que les Américains et les Anglais ont laissé par centaines de milliers sur place.
La Jeep bâchée a encore son immatriculation militaire. C’est une « Hotchkiss M 201 », sur laquelle ont été installés un moteur thermique et un ventilateur indépendant de la Jeep.
C’est un insecticide à poudre dont on voit les sacs sur le capot de l’engin (peut-être du DTT )qui était un des rares insecticides à large spectre efficace il a remplacé le sulfate de cuivre."
