© Archipop. Toute reproduction ou modification est interdite.
En savoir plus
En savoir plus
Étonnements de M. Raoul - 2 (Les)
- Cinéaste(s) : Claude LESUEUR
- Année(s) : 1970 environ
- Lieu(x) : Compiègne (60)
- Durée : 00:15:14
- Coloration : Couleur
- Format : Film super 8
- Son : Sonore
- Genre : Fiction
- Collection : Claude LESUEUR
- Support(s) : 0343FI0010
Le cinéaste a créé pour cette fiction un personnage à la manière de M. Hulot : M. Raoul, qui se décrit comme "agitateur, hippie et poète".
Nous avons ici une satire sociale sur le comportement et les habitudes des Hommes dans les années 1970.
Ici apparait la notion de pollution sonore.
A propos du cinéaste :
Originaire de l'Oise et ancien professeur de Lettres au collège Jacques Monod de Compiègne, Claude Lesueur réalise des courts-métrages de fiction et d’animation en super 8 sonorisé de 1968 à 1975. Cinéaste autodidacte, il a cependant l’œil et la connaissance technique du photographe amateur aguerri (cadrage, profondeur de champ…). Le bon sens et ses connaissances en photographie l’aident beaucoup dans l’appréhension du médium filmique. Il apprend à monter seul, et apprend au tournage à faire des raccords, à mettre en pratique le langage cinématographique. Pour lui, c'est nécessaire de sonoriser ses films : la bande son étant la moitié du travail au cinéma.
Le cinéma amateur est pour Claude Lesueur un divertissement personnel dans lequel il pose son regard amusé ou subversif sur la société, sans prétention, sans message.
Nous avons ici une satire sociale sur le comportement et les habitudes des Hommes dans les années 1970.
Ici apparait la notion de pollution sonore.
A propos du cinéaste :
Originaire de l'Oise et ancien professeur de Lettres au collège Jacques Monod de Compiègne, Claude Lesueur réalise des courts-métrages de fiction et d’animation en super 8 sonorisé de 1968 à 1975. Cinéaste autodidacte, il a cependant l’œil et la connaissance technique du photographe amateur aguerri (cadrage, profondeur de champ…). Le bon sens et ses connaissances en photographie l’aident beaucoup dans l’appréhension du médium filmique. Il apprend à monter seul, et apprend au tournage à faire des raccords, à mettre en pratique le langage cinématographique. Pour lui, c'est nécessaire de sonoriser ses films : la bande son étant la moitié du travail au cinéma.
Le cinéma amateur est pour Claude Lesueur un divertissement personnel dans lequel il pose son regard amusé ou subversif sur la société, sans prétention, sans message.