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Fabrique de sucre de Rang-du-Fliers
- Cinéaste(s) : Maurice MOUREAU, Jean DELHON
- Année(s) : 1958
- Lieu(x) : Rang-du-Fliers (62)
- Durée : 00:25:06
- Coloration : Noir & Blanc
- Format : Film 8 mm
- Son : Muet
- Genre : Documentaire
- Collection : Annie et Jean DELCOURT
- Support(s) : 0265FH0014
Fondée en 1857 par M. Cazin, la sucrerie est reprise en 1920 par M. Jean Garry. Les sites de la sucrerie et de la gare ont connu une activité intense jusqu’en 1966. Le tortillard passe par la sucrerie pour assurer le transport des wagons remplis de betteraves.
Après le traitement des betteraves, l’extraction, la filtration et l’épuration du jus, vient la cristallisation, le conditionnement et l’expédition du sucre.
M. Jean Delhon, né en 1930, a travaillé durant trois campagnes betteravières à la fabrique de sucre de Rang-du-Fliers, de 1956 à 1958, avant d’exercer en tant qu’instituteur à Berck-Plage. Durant ces années-là, il pratique la photographie et intègre le photo-ciné-club berckois. Avec son ami Maurice Moureau, membre du club et cinéaste amateur, il décide de réaliser un film sur la sucrerie.
Durant son travail, Jean Delhon effectue les repérages, sélectionnant les endroits qui lui semblent intéressants d’être enregistrés. Il obtient l'autorisation de filmer auprès du directeur de fabrication M. Chimot. Le tournage s'effectue en une seule soirée.
Le film sera ensuite projeté en privé au sein du photo-ciné-club berckois.
Après le traitement des betteraves, l’extraction, la filtration et l’épuration du jus, vient la cristallisation, le conditionnement et l’expédition du sucre.
M. Jean Delhon, né en 1930, a travaillé durant trois campagnes betteravières à la fabrique de sucre de Rang-du-Fliers, de 1956 à 1958, avant d’exercer en tant qu’instituteur à Berck-Plage. Durant ces années-là, il pratique la photographie et intègre le photo-ciné-club berckois. Avec son ami Maurice Moureau, membre du club et cinéaste amateur, il décide de réaliser un film sur la sucrerie.
Durant son travail, Jean Delhon effectue les repérages, sélectionnant les endroits qui lui semblent intéressants d’être enregistrés. Il obtient l'autorisation de filmer auprès du directeur de fabrication M. Chimot. Le tournage s'effectue en une seule soirée.
Le film sera ensuite projeté en privé au sein du photo-ciné-club berckois.