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Une petite sainte
- Cinéaste(s) : Monique DEFONTAINE, Jean DEFONTAINE
- Année(s) : 1975 à 1985
- Durée : 00:32:22
- Coloration : Couleur
- Format : Film 8 mm
- Son : Muet
- Genre : Fiction
- Collection : Jean LEJARRE
- Support(s) : 0590FH0009
Les cinéastes sont membres de l’Union des Cinéastes Amateurs du Nord.
Ils réalisent ici une petite fiction estivale.
Un père et sa fille partent en vacances sur la côte d’Azur. Le père aime regarder les femmes en maillot de bain et les filmer… Sa fille, qui l’accompagne sur le remblai, à la terrasse, sur la plage… garde la caméra de son père pendant qu’il papillonne. A chaque fois, un incident se produit en son absence et la caméra en subit les dommages… sans que le père s’en aperçoive. De retour de vacances, il a hâte de découvrir ses souvenirs de vacances..! un miroir aux amourettes…?
"UCAN Présente"
"Un film de M et J Defontaine"
"Une petite sainte"
En extérieur et en plein jour, une voiture (citroën DS) se gare devant la caméra.
Un homme et une enfant déchargent la voiture sur le trottoir. Des livres dont “Le miroir aux amourettes” dépassent des valises. Le père montre à sa fille sa caméra amateur 8mm. Ils se dirigent vers un immeuble.
L’homme écrit sur un carnet ce qui semble être les notes d’un scénario :
en images : Sur une plage (sud de la France)
L'homme filme les gens sur la plage et plus spécialement les femmes en se concentrant sur leur silhouette. Il est accompagné de sa fille.
L'Homme arrête une jeune femme et lui propose de la filmer. Pendant qu'il réfléchit à la composition, la jeune fille utilise la caméra et la fait tomber par terre. Elle le ramasse, l'homme l'utilise à son tour comme si de rien n'était.
Scène de pétanque.
Le père et sa fille boivent un verre en terrasse. Alors que son père est parti regarder les femmes… la jeune fille renverse une boisson sur la caméra, nettoie l'accident puis repart. Le père prend la caméra et filme comme si rien ne s’était passé.
Le père et sa fille vont à la plage. Le père va se baigner et discuter avec une femme tandis que sa fille joue avec la caméra avec d'autres enfants. La caméra tombe dans l'eau puis le sable. Elle la sèche puis la range. Son père revient et l'utilise.
29’54 : De retour chez lui, en intérieur, le père prépare et envoie ses pellicules, puis reçoit (par le facteur) le développement et découvre une lettre de Kodak-Pathé indiquant :
”A la suite d’un accident au cours du développement, nous avons le regret de vous informer que vos pellicules ont été abimées. Nous vous adressons donc 20 kodachrome II 8mm neuves en remboursement. Avec toutes nos excuses.”
Sa fille est présente à ses côtés. Son père à l’air très déçu…
Fin